Good Morning!!

Bonjour!

(Oui, nous ne sommes pas au matin...)

Ici, vous pouvez poster vos poèmes et commentez ceux des autres!

Voilà, voilà!

Bienvenue sur cette nouvelle rubrique!

Bonjour!

Attention, changement!! Eh oui! J'adore les poèmes donc j'ai décidé de faire une nouvelle rubrique, que voici, avec son premier article. Aujourd'hui, un, deux ou même trois poèmes que j'ai écrit.

Si vous voulez, vous pouvez commenté et je vous invite à en faire et à les poster sur le même thème que le(s) poème(s) que j'aurais posté aujourd'hui.

Je vous préviens, mes poème tournent très souvent autour de la tristesse...

*    *    *

Un premier qui n'a pas de titre:

Debout sur la falaise
Se sentant à son aise,
Une jeune fille regarde la mer
Et les paysages bien verts.

Ses yeux sont émerveillés
Par toute cette beauté
Ses cheveux volent doucement
Suivant le rythme du vent.

Ses yeux bleus
Reflètent son unique vœu
Celui que son dos
Accueille des ailes d’oiseaux.

Pouvoir voler enfin
Elle ne sait pas ce qui la retient.
C'est alors elle saute,
D'un coup, elle se sent vraiment haute.

Son parachute l’envole
Au dessus des nuages.
La caressant comme une étole
Amnistiant son ancienne rage

De la main elle caresse les cîmes des cyprès.
Sa liberté est là, tout près
Elle file dans le ciel
Comme du coton ou du miel...

*    *    *

 Un deuxième:

Ça ne m'a pas réchauffé le cœur...

Il faisait froid.
L’eau était glaciale.
J’aurais eu besoin d’un châle
Mais j’ai pensé à toi.

Ça ne m’a pas réchauffé le cœur.

Alors j’ai sauté dans le trou,
Celui qui était au milieu de l’étang.
J’ai senti l’eau me monter jusqu’au cou,
Le froid m'a gelée jusqu'au sang.

Ça ne m’a pas réchauffé le cœur.

J’ai regardé loin de là,
Dans ce virage, tu arrivais vers moi.
Tu venais en courant,
J’avais froid, l’eau me glaçant.

Ça ne m’a pas réchauffé le cœur.

J’ai voulu remonter,
Mais j’ai glissé.
Alors, j’ai fermé mes paupières
Et me suis enfoncée dans l’eau,
Pour ne plus t'entendre crier des mots
À cause de moi, à cause d’hier.

J’ai voulu me suicider
Mais tu m’as sauvé.
Tes bras autour de moi
M’ont ramené sur la terre.
Une ambulance était là.
Alors j’ai manqué d’air:
J’étais fixé.
Tu pensais un peu à moi.
Je ne puis plus en douter,
Puisque tu es encore là
Dans cette hôpital blanc
Tes bras me serrant
Et ta voix me disant:
« Ne refais plus jamais ça! »

Voilà, voilà pour ce premier article avec deux de mes poèmes que, peut-être, certains reconnaitront.

Je vous invite à en écrire dans les commentaires!

Bye!